The Critical and the Skeptical Methods in New Testament Research
En faisant usage des intuitions de la philosophie de la science, l'étude compare les voies d'approches en recherche néotestamentaire et en philologie classique. La recherche néotestamentaire a mis en oeuvre une certaine méthode qui était en vogue en philologie classique durant le 19ème siè...
Main Author: | |
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Format: | Electronic Article |
Language: | English |
Check availability: | HBZ Gateway |
Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
Published: |
Ed. Pontificia Univ. Gregoriana
2000
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In: |
Gregorianum
Year: 2000, Volume: 81, Issue: 4, Pages: 693-721 |
Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) |
Parallel Edition: | Non-electronic
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Summary: | En faisant usage des intuitions de la philosophie de la science, l'étude compare les voies d'approches en recherche néotestamentaire et en philologie classique. La recherche néotestamentaire a mis en oeuvre une certaine méthode qui était en vogue en philologie classique durant le 19ème siècle, mais qui fut éventuellement rejetée par la plupart des philologues classiques. Il s'agit d'une méthode sceptique plutôt que critique, car elle rend toute prétention à la connaissance problématique ou même impossible. Son origine dernière se trouve dans la méthode du doute systématique proposée par Descartes. Telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, cependant, la méthode sceptique est semblable à la philosophie de la science suggérée par le cercle de Vienne en les années 1920, mais que les héritiers de cette école regardent aujourd'hui comme trop simpliste. Des exemples concrets, tirés de la pratique courante de la recherche, montrent comment une méthode sobrement critique peut trouver place dans les études du Nouveau Testament, à condition seulement que les dangers de la méthode sceptique soiennt clairement apercus. |
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Contains: | Enthalten in: Gregorianum
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